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Le soutien de Ouest-France et des associations aux déserteurs et aux assassins

Cet article a été publié par Riposte Laïque dans son édition du 1er Octobre

Le soutien de Ouest-France et des associations aux déserteurs et aux assassins

 

Lecteur assidu de Ouest-France, j’avais déjà été frappé, après l’assassinat du Père Hamel, par le syndrome de Stockholm qui semble affecter la rédaction de ce journal. Ouest-France avait en effet titré « Ni haine, ni colère » devant un acte dont la barbarie soulève au moins le dégout et qui, chez la plupart des êtres sains, suscite la colère et le désir de vengeance. Mais au moins, à part chez les plus atteints par ce syndrome de Stockholm, comme l’archevêque de Rouen, une telle barbarie ne pouvait entrainer la compassion. Cette semaine, Ouest France a fait, coup sur coup, presque aussi fort, mais de façon bien plus habile car ce dérèglement de l’esprit peut avoir l’excuse de la compassion. Compassion masochiste et potentiellement suicidaire, mais compassion tout de même.

 

Le premier épisode, le 26 septembre, était cantonné à une édition locale, celle qui couvre Coutances, dans la Manche, à propos d‘un Afghan venu de la jungle de Calais et que la mairie de cette ville loge aujourd’hui dans ses HLM, avec une cinquantaine de ses compatriotes migrants, sans doute en priorité par rapport aux demandeurs français, pauvres Français ordinaires et bien moins dignes d‘intérêt.

 

Le second a trait à l’histoire, publiée le lendemain 27, d’un pirate somalien qui, à Quimper, « aspire à un vie normale ». Celui-là a les honneurs des pages générales du journal qui, lors de cette intéressante « rencontre », fait même de la publicité pour sa bande dessinée ( « l’homme  aux bras de mer » ), pour les bulles de laquelle un Blanc a du lui servir de Nègre étant donné son manque de maitrise de la langue française.

 

J’ai l’air de plaisanter mais je n’en ai vraiment pas envie car, en l’occurrence, mon quotidien local habituel concourt activement à détruire l’identité de la France, en soutenant un clandestin dans un cas et un assassin dans l’autre. Donc, dans les deux cas, quelqu’un qui a bafoué la loi française. Ce n’est pas tout à fait l’apologie du crime, quoiqu’on s’en rapproche sérieusement pour le pirate somalien, mais c’est au moins un encouragement à défier la loi républicaine et les sentiments légitimes d’un peuple au nom duquel la loi est censée être votée et la justice rendue.

 

Car quels sont les faits ? L’Afghan, que la journaliste locale, Isabelle Bordes, appelle affectueusement par son petit nom, Sherbahadur, a fui son pays, se prétendant menacé par les Talibans. Puis il s’est introduit clandestinement en France, à Calais, avant de bénéficier à Coutances, avec tous ses copains, des généreuses mesures de répartition dans la France profonde. Merci du cadeau fait aux Coutançais ! J’appelle cette homme un déserteur, car, vu sa jeunesse, il aurait du prendre les armes contre ces Talibans. Un déserteur doublé d’un intrus. Et il est aujourd’hui menacé d’une chose terrifiante, qui n’est pourtant que l’application de la loi : être expulsé vers le premier pays de l’espace Schengen par lequel il a pénétré en Europe, en l‘occurrence la Bulgarie. La menace est d’autant plus terrible qu’il en repartirait sans doute illico pour retrouver son appartement coutançais. Mais elle émeut beaucoup la collaboratrice de Ouest-France et les zozos habituels des « associations », qui sont venus manifester leur indignation devant l’arrêté d’expulsion pris par le Préfet, arrêté pourtant confirmé par le Tribunal Administratif de Caen. Naturellement, toute cette « émotion » est magnifiée sur une grande demi-page de l’édition locale de Ouest-France, très en pointe sur le sujet car ses confrères montrent tout de même un peu plus de retenue.

 

Le Somalien, Mohamed Mahamoud, a lui, bel et bien commis des crimes, d’autant qu’il n’en était surement pas à son coup d’essai avec l’attaque d’un voilier au large de la Somalie et le meurtre d’un de ses passagers, en l’occurrence un Breton. C’est pourquoi, une fois capturé par les commandos-marine après cette attaque, il a été jugé par la Cour d’Assises de Rennes et condamné à une peine, légère par rapport à la gravité des faits, de 9 ans de prison, dont il a été évidemment libéré avant terme. Et depuis, il s’est installé à Quimper, où deux braves bécassines associatives s’occupent de lui, après lui avoir trouvé un travail « solidaire ». Je ne sais pas ce que signifie exactement cet adjectif « solidaire », mais il ne s’agit surement pas d’un travail « normal », et assurément utile car effectué pour des clients libres d’acheter ou pas le produit de ce travail. Quoiqu’il en soit, ces « associatives » chouchoutent leur pirate ( le terme est presque affectueux, en tout cas plus que tueur, voleur ou violeur ) avec un dévouement digne des plus grands éloges selon le collaborateur de Ouest-France, Loïc Tissot. Mais je dois dire que, si j’étais quimperois, je préférerais que le plaisancier tué lors de cette attaque eût été un Français des Comores ou de la Réunion. Son meurtrier se serait mieux fondu dans le paysage local après sa libération. Et surtout, l’agrément relatif de la vie en France ne donnerait pas à ses 22 frères et sœurs ( le journaliste nous dit lui-même qu’il est d’une fratrie de 23 personnes ! ) une irrésistible envie de le rejoindre. Quoi de plus normal puisqu‘ils auront de la famille en France, et même probablement, dans quelques années, un frère qui aura acquis la nationalité française ! Nul doute que cela contribuerait fortement à l’essor démographique du Finistère-Sud. Quand au niveau de sa population, la question est interdite de débat. En attendant, Mohamed est tout de même « débouté du droit d’asile ». Mais chacun sait que cette abominable injustice est provisoire et inopérante, car elle n’interdit pas de vivre en France, en toute illégalité, comme « sans papiers », mais pas sans ressources, fournies, directement ou indirectement, par le contribuable.

 

Car naturellement, ces personnages intéressants, et valorisants pour le pays qui les accueille, sont soutenus, non seulement par des médias comme Ouest-France, mais par tout ce que la France compte d’associations qui collaborent, légalement ou non, à l’immigration de tous les indésirables de la planète, qui plus est généralement musulmans et entrainés dès l’enfance à manier la Kalashnikov, mais très capables de simuler un caractère doux et paisible. On pense notamment au GISTI, au RESF, au MRAP, à la LDH, au DAL, à Alternatives Solidaires, à l’Anafé, à France Terre d’Asile, ainsi qu’à la LICRA, SOS Racisme, Hors la Rue, Emmaüs, Citoyens du Monde, etc…. et autres « Pastorale des migrants ». Sans oublier l’incontournable Cimade. Selon une étude publiée en décembre 2014 par Contribuables Associés, toutes ces associations empochaient alors des subventions de 200 millions d’Euros par an, pour aider les clandestins et 230 millions pour aider, parait-il, les migrants à s’intégrer. Et il ne s’agit là que des subventions de l’Etat, celles des collectivité territoriales n’étant pas centralisées et publiées et celles de l‘Union Européenne étant parfaitement opaques.

 

On se demande pourtant ce qu’un gouvernement soucieux de l’identité et de la prospérité de ses citoyens, et non tétanisé par l’idéologie droitsdel’hommiste, aurait fait en pareil cas. Je crois qu’au lieu de donner l’exemple d’une lâcheté qui ne cesse de créer des appels d’air, il aurait fait des EXEMPLES pour DISSUADER les millions de semblables de ces individus de tenter de les imiter. Ainsi, les commandos-marine qui ont récupéré le voilier auraient pu « neutraliser » sur place ce Mohamed Mahamoud, au lieu d’en faire un boulet pour notre système pénitentiaire et nos aides sociales. Et sinon, la moindre des choses aurait été de l’expulser à sa sortie de prison au lieu de le laisser materner par ces pauvres associatives. Et, s‘agissant de cargos dont la cargaison vaut beaucoup plus cher que n’importe quelle rançon, on pourrait y embarquer discrètement quelques militaires qui régleraient leur compte aux assaillants en pleine mer au cours de leur attaque. Je pense que la leçon serait très vite comprise et que les pirates somaliens retourneraient illico à la pêche ou à des activités de brigandage traditionnelles en ces charmants pays. Quand aux migrants, je crois qu’il est assez vain de les expulser vers un autre pays européen de l‘espace Schengen. Les frontières terrestres sont des passoires et le resteront toujours. Ce qui est difficile n’est pas de les franchir mais de vivre en clandestin dans un pays où l’on ne trouverait pas de collabos pour les soutenir, car ces collabos seraient sanctionnés sérieusement. On sait que, théoriquement, ils peuvent l’être au titre du délit « d’aide au séjour clandestin d’étrangers ». Mais on sait aussi que ce délit n’est jamais sanctionné ni même constaté. Alors, pourquoi se gêner ? Cette interdiction est même tournée en ridicule par ces collabos, qui ont rebaptisé l’acte « délit de solidarité ». Par contre, si on « éloignait » les migrants clandestins vers des contrées inhospitalières du territoire français, comme nos restes d’empire en comprennent encore ? On peut penser à l’accueillante forêt guyanaise, aux pâturages ventés des Kerguelen, à l’isolement de nos iles d’Océanie, etc… Nul besoin de prolonger indéfiniment la punition. Il suffit de montrer qu’on est décidé à l’appliquer et en mesure de le faire, nonobstant les cris des belles âmes et les mises en demeure de magistrats, français ou européens, irresponsables. C’est moins terrible que le Goulag sibérien, mais cela dissuaderait très vite les candidats à un asile politique injustifié dans la quasi-totalité des cas. Pourquoi injustifié ? Parce que le véritable asile politique n‘est justifié que pour une poignée d’intellectuels et de politiques persécutés par des régimes totalitaires. Et ces gens là sont déjà en Occident depuis longtemps. Le déferlement de migrants que nous connaissons ces dernières années n’est donc en fait composé que de réfugiés économiques, de déserteurs s’il s’agit de pays en guerre….. et de soldats d‘Allah infiltrés pour le djihad en Europe.

 

Mais évidemment, ce ne sont pas là des choses envisageables pour des gouvernements de chiffes molles. Espérons que ces gouvernements-là seront remerciés par leurs peuples avant que le Grand Remplacement soit devenu irréversible.

 

Eric Lhullier

 

NB : explicitation des sigles associatifs

 

GISTI : Groupe d’Information et de Soutien des Travailleurs Immigrés

RESF : Réseau Education Sans Frontière

MRAP : Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et pour la Paix

LDH : Ligue des Droits de l’Homme

DAL : Droit Au Logement

Anafé : Association Nationale d’Aide aux Frontières pour les Etrangers

CIMADE : Comité Inter Mouvements Auprès Des Evacués

 

 

 

 

 

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